Morning sun in an empty room est un « rework » d’une peinture d’ Edward Hopper intitulée Morning sun, réalisée en 1952.
En retirant la figure humaine présente dans la composition initiale de l’œuvre, Martin Boissard ne fait plus qu’apparaître les traces de son passage. Là où le tableau du peintre américain représentait une banale scène du quotidien, cette réinterprétation, plus énigmatique, laisse place à l’évocation par l’absence.